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 Azhena Rosvelec

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Azhena Rosvelec
Azhena Rosvelec
Professeure de célestomancie
Professeure de célestomancie
Azhena Rosvelec
Ven 10 Avr - 13:34 par Azhena Rosvelec


Azhena Rosvelec
Nom Rosvelec
Prénom(s) Azhena, Izold, Crinae
Âge | Date de naissance 52 ans, née le 29 février 1848
Nationalité bretonne
Lieu de résidence Beauxbâtons à l’année, une maison dans la forêt de Quénécan le reste du temps
Fonction(s) professeure de célestomancie à Beauxbâtons (tout ce qui est divination liée au ciel, aux étoiles, aux oiseaux, etc.)
Ecole | Maison | Année ancienne élève de la section prémonitationniste
Spécificités magiques
Familier un hibou moyen-duc appelé Tristanig. Ses chants sont censés aider sa maîtresse dans ses divinations, mais les sons qu’il émet ne consistent guère qu’en des ronflements ponctués de hululements pour réclamer qu’on lui papouille les plumes
Baguette bois de pin, cheveu de Demiguise, 27,4 cm, discrètement rigide
Patronus hippocampe
Epouvantard elle-même dans une cage
Balai elle a horreur de voler , donc aucun
Amortentia un mélange d’odeurs de mer, de forêt après la pluie et d’aubépine
Particularités Azhena est Clairvoyante, c’est-à-dire que sous certaines circonstances, elle jouit de la capacité de percevoir des bribes du passé, du présent et du futur grâce à son Troisième Œil
Description physique
Taille 1,76m
Corpulence fine et vive, son âge commence toutefois à la rattraper et elle n'est plus si musclée qu'autrefois
Cheveux gris et lisses
Yeux verts
Signes distinctifs à part qu’elle tire la tronche 75% du temps ? Une cicatrice sur la joue droite.
Style vestimentaire généralement sobre et plutôt sombre, voire sévère, elle se permet toutefois de discrètes étoffes de luxe et des bijoux délicatement raffinés
Description psychologique
Qualités cultivée, curieuse d’esprit, rigoureuse, soucieuse des autres quand elle juge qu'ils sont véritablement en difficulté
Défauts bougonne (très bougonne), pessimiste, excessivement exigeante, volontiers acerbe, facilement cassante  
Préférences avant tout, Azhena tient à sa liberté et à sa tranquillité. A la limite de l'asociabilité, elle porte cependant en grande estime les gens qui sont capables d'apprécier son don de voyance pour ce qu'il est - une piste, et non une vérité - et voue une passion déraisonnable au thé blanc. Elle adore également se promener dans la nature et part parfois des journées entières en promenade dans la forêt ou sur les côtes de son pays.
Antipathies n’importe quelle personne qui prétend imposer sa vision des choses à d’autres sera automatiquement rangée dans la catégorie « torr-penn ». A part ça, essayez de la déranger quand elle se sent d'humeur misanthrope en vous en souffrirez les conséquences (celles-ci allant de prédictions annonçant la mort imminente de votre chat préféré à un sortilège de Chatouille-Nez très tenace)
Réputation s’il y a une chose que ses élèves apprennent très vite d’Azhena, bien avant la lecture des astres et l’interprétation du chant des oiseaux, c’est qu’il ne faut pas la faire chier. A dire vrai, c’est une règle que ses collègues ont tout autant tendance à appliquer : plus d’un s’est pris une plaisanterie acide ou s’est vu prédire les pires souffrances après avoir tenté de sociabiliser avec la Bretonne dans un moment où elle avait envie d’être seule. Le consensus veut donc maintenant qu’on la laisse tranquille dans son coin, dont elle sort quand elle en ressent le désir.

Projets sa jeunesse bagarreuse a marqué Azhena... principalement en lui enseignant les mérites comparatifs d’une vie tranquille où l’on ne se prend pas de nouveaux bleus tous les jours. Cela étant, elle en a aussi retiré un besoin aigu d'espace et de liberté. Pour l’heure, elle a trouvé un équilibre qui lui convient, entre l’émulation de Beauxbâtons, un endroit remuant et plein de surprises à sa façon, et la tranquillité de la forêt armoricaine. Elle est donc décidée à y rester encore un moment.

Famille Côté ascendance, les deux parents d’Azhena viennent de familles sorcières, mais à la généalogie trop obscure pour être considérées comme de Sang-Pur. Son père, Sklaer Rosvelec, était guérisseur à l’hôpital magique de Ker-Is avant son décès, tandis que sa mère, Crinae le Coz, est aujourd’hui l’une des doyennes du conseil des Druides de Bretagne. Azhena a également un frère aîné et une sœur cadette.
Côté descendance, maintenant, eh bien Azhena est l’heureuse (enfin, heureuse… Ca va, quoi) maman de deux enfants : Rozenn et Bran, qui finissent tous deux leurs études à Beauxbâtons. Elle les a eus avec Horsa Steetz, un sorcier suisse dont elle est maintenant séparée.

Histoire De l’avis général, Crinae le Coz était une jeune sorcière aussi ambitieuse que sérieuse. Major de sa promotion, engagée dans l’administration druidique dès son plus jeune âge, membre de toute une foule d’associations et clubs divers, elle avait tout de la jeune première épuisante et agaçante. Un personnage aussi hyperactif et aussi dévoué à la poursuite de sa carrière aurait pu peiner à trouver une âme sœur pour supporter ses absences et son constant défoulement d’énergie ; heureusement pour elle, juste après avoir été nommée secrétaire particulière de l’une des Druidesses du conseil de Ker-Is, Crinae fit la connaissance du sympathiquement placide Sklaer Rosvelec, un jeune guérisseur constamment dans les nuages, à la patience infinie et à la personnalité affable. Ces deux contraires s’attirèrent, se rencontrèrent et s’annulèrent en un équilibre parfait ; de leur union naquirent trois enfants : Arzhur, Azhena et Vesta.
Chacun de ces trois bambins était remarquable à sa façon (tous les mioches le sont, ces sales bêtes), mais ses parents s’aperçurent assez  vite que la petite Azhena possédait une caractéristique particulièrement notable : elle était capable de deviner des jours à l’avance quand les cieux allaient se strier de nuages de pluie, les oiseaux lui annonçaient la venue de visiteurs impromptus et les étoiles l’informaient du décès prochain de membres de la famille. La vérité devint bientôt évidente : Azhena jouissait du Troisième Œil, ce don rare et précieux qui permet à certains sorciers de percevoir des bribes d’un temps et d’un espace qui ne sont pas les leurs. Dans son cas, cet Œil ne se manifestait pas dans une capacité à lire les feuilles de thé, à démêler les calculs arcaniques de l’arithmancie ou à déchiffrer les volutes de fumée, mais par une affinité naturelle avec tout ce qui avait trait aux cieux : un goéland volant paresseusement au gré des courants aériens, un nuage gris parmi les nuées immaculées, un murmure de vent plus fort que les autres étaient autant de signes qui lui faisaient percevoir, sans qu’elle le voulût, des bribes de ce qui était advenu et de ce qui était susceptible de survenir.
Hélas, la petite Azhena, contrairement à son frère et à sa sœur, n’était pas un enfant heureux : d’une nature taciturne et indocile, elle se sentait délaissée par une mère trop occupée à préparer son élection au conseil des Druides et un père bien intentionné mais incapable de comprendre ses tourments. A posteriori, elle réaliserait qu’elle avait aimé ses parents, mais qu’elle n’était jamais parvenue à les respecter. Malheureusement, prendre conscience de ses dons de voyante n’aida en rien la jeune fille : elle qui aurait eu besoin d’attention, de se sentir aimée, de faire partie de quelque-chose, elle se retrouvait ostracisée, cataloguée, par sa propre nature. Jamais elle n’eut à souffrir de crainte ou de rejet à cause de ses dons, mais elle eut le sentiment de se retrouver condamnée à une voie qu’elle n’avait pas choisie, à porter le fardeau d’une responsabilité qu’elle n’avait pas demandée. Lire dans le regard des autres qu’ils attendaient d’elle qu’elle leur annonce leur destin, plutôt que de la traiter comme n’importe quelle petite fille de son âge, la peina profondément.
De ce point de vue, son passage par Beauxbâtons fut une expérience mitigée : elle y fit certes la rencontre d’amis venant d’horizons infiniment variés à ses yeux qui n’avaient connu que la rigidité d’un univers familial aimant mais strict, des amis qui, parce qu’ils l’aimèrent pour ce qu’elle était et non pour ce qu’ils croyaient voir en elle, parvinrent à la faire s’envisager comme autre chose qu’une Pythie privée de libre arbitre ; mais d’un autre côté, les yeux de la majorité des élèves et des professeurs restaient ceux qu’elle avait toujours connus, des yeux avides d’informations qu’elle n’avait envie ni de connaître, ni de leur délivrer. Et la pression ne disparut donc pas – d’autant moins que malgré ses réticences, elle finit tout de même par s’inscrire, sous l’impulsion d’un mélange d’incertitude, d’influence parentale et de la vague idée qu’il était idiot de ne pas profiter des talents qui étaient les siens, dans la filière prémonitationniste qui lui permettrait d’exploiter à fond ses dons de voyante.
Cette voie lui permit d’explorer les arcanes de la divination, de mettre des mots sur des impressions, faisant d’elle une prophétesse plus précise et plus talentueuse qu’elle ne l’avait jamais été. Mais par esprit de rébellion, elle prit la malicieuse habitude de donner, à chaque fois qu’on lui demandait une prédiction, non pas un faux augure de son invention, mais l’interprétation la plus noire possible de ce que lui annonçaient les cieux… ou bien d’envoyer bouler tout net les requérants avec un « non » ferme souvent suivi d’une pique aussi gratuite que bien sentie (quand on peut lire avenir et passé, c’est facile de connaître les points faibles des gens). Il en résulta qu’au sortir de l’école, Azhena jouissait d’une redoutable réputation de Cassandre… et de malamabilité parfaitement assumée.
La suite logique de sa carrière aurait été qu’elle travaillât comme prédicatrice pour le conseil des Druides, comme enseignante ou comme trader-devin pour une banque,  mais Azhena n’avait aucune envie de poser ses fesses derrière un bureau poussiéreux. Au lieu de cela, la jeune femme fit un choix de carrière qui en étonna plus d’un (mais pas ses condisciples prémonitationnistes qui avaient vu le coup venir à dix feuilles de thé de là) : elle s’inscrivit comme duelliste dans la Joute, le grand tournoi de combat magique francophone, une voie généralement réservée aux anciens élèves de la filière palladiste. Azhena n’avait certes pas l’expérience d’années d’entraînement, mais elle apprenait très vite et, surtout, elle était dotée d’une capacité d’anticipation qui la faisait résolument sortir du lot. Après des débuts difficiles, elle devint une bretteuse de talent, suffisamment en tout cas pour être sélectionnée dans l’équipe nationale de Bretagne (les fameux « Korriganed »). Ce furent pour elle des années heureuses, qui lui permirent de rencontrer des gens venus d’horizons dont elle n’aurait même pas pu imaginer la diversité, et qui la laissèrent exploiter ses dons sans que ceux-ci soient pour autant l’élément déterminant de son existence.
Son statut de joueuse nationale la fit voyager dans toute l’Europe, de l’Atlantique à l’Oural, du Bosphore à l’Islande. C’est lors d’une compétition en Suède qu’elle rencontra pour la première fois Horsa Steetz, le capitaine de la sélection helvétique. Leur première interaction consista à s’agonir mutuellement de sorts de conjonctivite, de malédictions urticantes et autres enchantements de bégaiement. Ensuite, ils allèrent arroser leur match nul de force aquavit. Ce ne fut que la première de leurs rencontres, et pas plus que le début d’une amitié, mais les bases de ce qui, quelques années plus tard, se transformerait en romance étaient posées.
Les lustres passèrent, constitués de combats gagnés et perdus, de rencontres heureuses et tristes, de nouvelles bonnes et malheureuses. La mort de son père, victime d’un cas apparemment banal de grippe griffonique, la rapprocha de sa mère, et elle commença à passer plus de temps à Ker-Is – et se prit à songer, pourquoi pas ? à s’installer. Elle avait maintenant atteint le milieu de la trentaine, et elle sentait que si son corps et ses réflexes étaient toujours affûtés par des années d’expérience, la vigueur de ses vingt ans s’en allait lentement mais sûrement : bientôt, elle ne serait plus capable de concourir contre des bretteurs moins aguerris mais plus endurants – et plus décidés. Elle n’avait même pas besoin de consulter son Troisième Œil pour deviner comment les choses allaient tourner : les cicatrices qui se faisaient de plus en plus nombreuses à orner son corps et jusqu’à son visage ne laissaient pas de place au doute.
Le choix d’Horsa apparut alors purement logique : les deux avaient finalement fini par franchir le pas douze mois plus tôt, lors d’un championnat en Crête, et même si leur histoire en était pour l’heure seulement au stade de l’amourette, tous deux se connaissaient maintenant très bien, s’appréciaient et faisaient face aux mêmes échéances : pour Horsa également, le glas des combats n’allait plus tarder à sonner. De ce mélange de pragmatisme et de romantisme maladroit, il résulta que les deux anciens adversaires se marièrent à Bâle un peu plus d’un an plus tard. Horsa venait d’être nommé entraîneur de l’équipe helvétique, et Azhena, après avoir joué les pronostiqueuses pour le magazine Coups du Sort, découvrit qu’on recherchait une célestomancienne pour enseigner à Beauxbâtons (faut dire que les vraies ne courent pas les rues), une offre trop alléchante pour qu’elle la saisît pas. Leurs emplois du temps respectifs signifiaient que les jeunes mariés seraient séparés une bonne partie de l’année, mais cela convenait parfaitement à ces deux solitaires : les chats sauvages ne sont pas faits pour se fréquenter trop longtemps. Pendant leurs congés, ils alternaient entre Bretagne - où Azhena avait acheté un mignon petit cottage en plein cœur de la forêt de Quénécan, au croisement de la Cornouaille, du Trégor et du Vannetais - et Suisse – Horsa vivait depuis longtemps dans un chalet du côté de Saint-Gall.
Treize mois après leur mariage, Azhena donna naissance à une petite Rozenn, qui fut suivie presque immédiatement par un adorable Bran (puisqu’ils porteraient le germanique patronyme de leur papounet, ce fut le chauvinisme de leur maman qui triompha dans le choix du prénom des enfants). Les premières années furent peut-être les plus heureuses de la vie d’Azhena, qui entre ses enfants, son mari et son nouveau travail trouva une plénitude qu’elle n’avait jamais connue… et qui ne dura pas. La voyante n’était pas femme à savoir s’enterrer dans une routine, et les mauvais souvenirs de son enfance furent un obstacle à son épanouissement : partagée entre envie de ne pas répéter les erreurs de ses parents et crainte de se montrer une mère trop envahissante, Azhena s’aperçut au bout de quelques années qu’elle s’était lancée dans une aventure dont elle était prête à accepter les joies, mais pas à assumer les défis. Elle aimait ses enfants, et son affection pour Horsa était toujours là, mais il fallait se rendre à l’évidence : elle avait besoin de liberté et d’espace, et aussi de pouvoir ressasser ses noires idées en toute tranquillité. Sourire face aux peines pour rassurer les petits était au-dessus de ses forces. Horsa et elle divorcèrent au bout de sept ans, et il fut décidé que les enfants partageraient équitablement leur temps entre les maisons de leurs deux parents. Finalement, la situation fut une amélioration pour tout le monde, y compris Rozenn et Bran qui y gagnèrent une mère beaucoup moins stressée – et stressante.
C’est ainsi que se passe la vie d’Azhena depuis quelques années, une alternance entre Beauxbâtons et la Bretagne, entre l’agitation qu’entraîne la présence des enfants à la maison (mais plus pour longtemps : leurs études touchent à leur fin) et de longues périodes de calme plat. Azhena a toujours un caractère de merde, elle est toujours la proie de visions qu’elle n’a pas demandées, elle n’est pas encore pleinement satisfaite de ce qu’elle est (et elle ne le sera jamais, maintenant). Mais au moins, elle a trouvé son équilibre.
Le joueur
Pseudo Disons Gill (prononcez « guil »), par habitude
Âge 26 ans et toutes les molaires en moins :’(
Un livre, un film ou une série à nous faire découvrir ? hum, je sors de lire du Łukasiewicz, mais en vrai, faut s’accrocher :’D Peut-être plus accessible, j’ai relu « His Dark Materials » (« La Croisée des Mondes ») récemment, et c’est vraiment chouette. En plus, l'adaptation BBC qui est sortie en fin d'année dernière était top !  
Acceptez-vous l'intervention d'un maître du jeu à tout moment ? Nan c’est tous des pourris. REVOLUTION ! Ahzutc'estvraiquej'enfaispartie...
Si au bout de trois mois d'inactivité constatée, acceptez-vous que votre personnage, s'il possède une fonction unique au sein du forum, soit rétrogradé pour laisser sa place ? Eh eh, vous ne vous débarrasserez pas de moi si facilement !
Avez-vous quelque chose à rajouter ? je vous balance un peu d’amûr dans la gueule. On a toujours l’usage d’un petit supplément d’amûr dans la tronche.
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Azhena Rosvelec
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